A l'image du titre, l'humour est assez souvent dans le registre scato, à se demander si l'auteur ne se complait pas dans la merde qu'il tente de fustiger. Cependant, certaines anecdotes m'ont bien fait rigoler. Je pense particulièrement au quiproquo à propos de l'auberge du casino.
Dans l'ensemble, même si c'est souvent très exagéré, il faut bien reconnaître que parfois ça touche là où ça fait mal.
Dans le même registre, je pense qu'un auteur français pourrait facilement écrire "Une fucking année", relatant les tribulations d'un exilé français dans la City.
En conclusion, je dirais que je préfère de loin, le recul, la retenue et l'humour de Peter Mayle.
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