La mère évoque la vie quotidienne d'une paysanne chinoise avant la Révolution, vie faite de travail, de résignation et d'abnégation. Un jour, son mari part pour la ville et ne revient plus. La vieille, sa belle-mère, meurt. Les enfants grandissent et partent aussi. Mais face à l'adversité la mère poursuit dignement une existence désolée qui n'est qu'un lent supplice, une répétition invariable du malheur.
Avec un sens aigu du détail, Pearl Buck nous retrace cette existence morne où s'affirme à travers la souffrance et le désespoir la noblesse des pauvres et des humiliés.
le cri du lézard
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