J'ai bien aimé ce livre. Surtout le chapitre sur le désencombrement matériel Il nous aide à désencombrer notre maison, notre intérieur,...
J'ai quand même trouvé l'auteur un peu extrémiste...et dans certain chapitre, elle donne des "trucs" qui ont certainement marché pour elle mais qui ne va pas marcher pour tout le monde. Mais finalement si ce livre nous fait un peu réfléchir et jeter quelque objet, nous faire un peu bouger dans notre vie, il a déjà atteint un peu son but.

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Est-ce une démarche individuelle (personnelle, esthétique, psychologique) ou collective (éthique, économique, politique) ?

Alors je réponds totalement personnelle. (et à mon regrets pas assez basé sur l'écologie)

oui, très individuelle, et pas du tout politique : on est à fond dans le zen, et suivre les conseils de l'auteure c'est toucher (aussi) à notre porte-feuille, il fait le dire. On n'est pas dans la décroissance, on est dans l'aménagement (feng shui, dépouillement de choses encombrantes, mais au final c'est ce dépouillement qui devient encombrant...)
Je veux dire par là que la majorité de la population ne peut tout simplement pas suivre ces conseils. C'est une approche du dépouillement vue par des riches. Ce que j'ai pu retenir, c'est qu'on pouvait être libéral tout en menant une vie spirituelle du dépouillement. Bref, chez moi ça coince, mais on trouve du positif dans ce bouquin (enfin, je ne fais pas de positivisme, là ;-D)

mmmmh, c'est-à-dire que je n'ai pas compris ta remarque, donc j'avoue avoir du mal à te répondre.
Une pensée entièrement et complètement immonde, oué, je pense que c'est rare, en tout cas au moins aussi rare qu'une pensée entièrement et complètement parfaite (en dehors de la mienne, bien entendu, mais ça chacun l'aura compris)