Robert Crumb fait la confession en bandes dessinées de ce que fut sa vie, notamment à travers le prisme de ses fantasmes pour les femmes stéatopyges, callipyges, aux gros mollets, et si possible à la taille au-dessus de la moyenne, et ce que ses frustrations ont fait pour son art, et ce que son art a fait pour sa revanche sexuelle. Par épisodes, il avouera également qu'il s'est détruit par le LSD, que son attitude envers les femmes est devenue misogyne malgré lui, pour finir par la "rédemption" voulue par l'entrée dans l'âge mûr.
Je ne suis fan ni d'Irving, ni de Woody Allen (dont il n'a pas l'humour) et ça a fini par m'ennuyer prodigieusement : trop répétitif. Il n'aurait pas fallu rapprocher tous ces feuilletons, faits pour être publiés séparément.
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