Sarah, pour des raisons qui ne sont pas exposées, a poussé sa famille d'origine tunisienne à quitter la France pour aller habiter en Israël, et quand ils s'y sont établis, les a quittés pour retourner vivre en France, auprès d'un homme qu'elle aime à sa manière. La voilà qui revient passer l'été en famille, y promène une froide animosité, qu'elle appelle de l'indifférence, et sa provocation, notamment à l'égard de son père et de tous les traditionnalistes. Elle recherche Mavrika, une prostituée dont l'amant a été interné, .
Je n'ai pas tellement envie d'en dire plus. Israël est un pays qui m'a toujours attirée, dont je pressens l'ambiguité, et malgré les couleurs sales dont la narratrice le peint, il reste fascinant. Mais je n'ai vraiment pas accroché avec l'héroïne.

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