[Tex. 330, Il fiume sotterraneo | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galleppini]

Le fleuve souterrain
Juan Velarde, archéologue porté disparu, a pris possession de l’antique navire hollandais échoué dans le désert et tient à protéger sa trouvaille lucrative quoi qu’il en coûte. Les Indiens Pimas sont dévoués corps et âme à la protection du « navire sacré ». Afin de stopper l’avancée inexorable des rangers, Velarde envoie ses fidèles Pimas avec l’ordre de tuer les « chiens blancs ». Dans leur parcours mouvementé, Tex Willer et Kit Carson devront emprunter un fleuve souterrain qui les aspirera dans des profondeurs infernales avec l’incertitude toujours plus criante d’être régurgités à l’air libre.
Claudio Nizzi a écrit une tumultueuse épopée dans laquelle les deux rangers nagent de courants en cataractes, remués, trempés mais inflexibles quant au but à atteindre. Claudio Villa soigne les moindres détails jusqu’à la dernière case, réussissant tout ce qu’il dessine, de la sueur perlée au bois déchiqueté par balle, réalisant un nouveau morceau de bravoure avec le long glissando des héros dans les abysses aqueux du désert.
Guet-apens à bord
Sur une bonne vingtaine de pages débute une nouvelle aventure scénarisée par Nizzi et dessinée par Fusco qui se poursuit dans les numéros suivants mais immédiatement après Claudio Villa, il est plus difficile pour le lecteur d’être embarqué.

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