[Tex. 329, Gli spiriti del deserto | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galleppini]
Les esprits du désert
Un dard empoisonné tiré d’une sarbacane depuis la fenêtre par un Indien Pima stoppe net les révélations du vieux prospecteur. Croyant à un malaise puis confronté à la « mort silencieuse », les rangers se ruent à l’extérieur, en vain car la nuit est propice au tueur. Communiquant par tambour, Yakal demande des instructions au « Seigneur du navire sacré » sur la conduite à tenir. Ce dernier donne l’ordre d’éliminer les policiers texans. Pour Tex et Kit, il est temps d’embrayer la vitesse supérieure et d’approcher l’épave légendaire échouée dans le désert mais les pièges à déjouer sont coriaces d’autant que les Pimas sont dévoués corps et âme à la protection du navire hollandais.
Suite superbe du « Navire perdu » parue précédemment, « Les esprits du désert » font résonner les tambours, siffler la mort silencieuse, courir les rangers, tomber les Pimas pendant que le seigneur donneur d’ordre converse et fume le cigarillo. Claudio Villa (né en 1959) dessine avec aisance et naturel. Son trait est ajusté, souple et délié. Avec un tel virtuose aux pinceaux, le lecteur n’a jamais la sensation de perdre son temps mais au contraire de l’enrichir.
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