Certaines questions posées par le premier tome trouvent un commencement de réponse, mais d’autres questions se posent, les chemins d’Aomamé et de Tengo se rapprochent.
J’apprécie le style de Murakami (bien que la traduction laisse à désirer), mais j’ai été un peu moins happée par ce tome que par le premier (et pourtant l’action semble s’accélérer). Je trouve qu’il y a des longueurs et des répétitions, on prévoit davantage où l’auteur veut nous mener que dans ses autres ouvrages (à moins qu’à force de le fréquenter on le connaisse trop…)
Malgré ces réserves je dois dire que j'ai trouvé grand plaisir à lire ce deuxième tome, et j'ai beaucoup aimé l'idée sous-jacente : écrire un livre n'est pas innocent mais change le monde.
Une phrase paradoxale qui revient à plusieurs reprise et qui me semble contenir plus de vérité qu'il n'y paraît à prime abord :
Citation:
Si tu as besoin qu'on t'explique pour comprendre, cela veut dire qu'aucune explication ne pourra jamais te faire comprendre
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