Depuis le déclin de l'Empire Romain, neuf familles détiennent le contrôle du monde, en utilisant le pouvoir de la religion chrétienne nouveau-née. Leur secret : imposer des règles aux hommes et ne jamais les respecter.
Dans la Rome de 1750 vit Armando Catalan, mieux connu sous le nom de Scorpion, pour la marque qu’il porte sur la peau.
Aimé et disputé des femmes, il se procure de quoi vivre en cherchant parmi les ruines les tombes des saints et des martyrs, pour en vendre ensuite les reliques à la riche et croyante noblesse romaine.
Mais sa vie est en danger. La marque qu’il a sur la peau le lie au Diable et une voix récurrente parle d'un fils née d'une femme et d'un homme d'église parmi des plus purs.
Monsignor Trebaldi est décidé à rayer définitivement ces voix et charge l'empoisonneuse égyptienne Mejaï de s'occuper du Scorpion. Mais la première tentative échoue et maintenant le Scorpion veut rencontrer Trebaldi, pour lui demander pourquoi il veut sa mort. Il sait que sa mère a été poursuivie en justice pour sorcellerie et brûlée sur le bûcher mais il ne connaît pas l'identité du père …
Une histoire captivante et des planches à fort impact visuel et dynamiques, des splendides vues de Rome et de sa campagne, une minutieuse reconstruction historique des vêtements et des milieux, d’un Enrico Marini vraiment superlatif.
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