[Les Sentiers de la perdition | Max Allan Collins, Richard Piers Rayner]
Le récit, à la première personne, est narré par le fils de Sullivan, témoin des faits passés et compagnon de voyage du père sur la route de la Perdition (on remarque le jeu de mots dans le titre : « perdition » s’entend non seulement comme corruption morale, mais comme lieu de salut) une ville où vivent des parents auxquels Michael Senior veut confier le fils. L'histoire du livre est, tout au moins insolite, généralement d'un livre, on écrit le sujet pour en réaliser un film, alors que dans ce cas le contraire s'est produit : d'un graphic novel (une oeuvre, des dimensions d'un livre, réalisée cependant comme une bande dessinée) a été traitée la pellicule de laquelle du scénario, à son tour, a été écrit le roman du créateur même de l'oeuvre originale, la lecture est fluide et extrêmement rapide, assez peu captivante.
Ce livre ne sera pas un chef d’oeuvre de littérature, mais il aide à passer quelques moments d'absolue détente.
À signaler que l'auteur du livre, Max Allan Collins a écrit quelques scénarii pour le cinéma, parmi lesquels celui du « Il faut sauver le soldat Ryan " et pour la télévision : « Csi : Crime Scene Investigation » est son invention.
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