Un chœur de mendiants, installés près du mur des lamentations, écoutant ou racontant des histoires de tous les temps sur le malheurs et la capacité de résistance des juifs, l’ivresse de la victoire inattendue lors de la guerre des six jours.
Je pensais lire avec intérêt un tel livre.
Mais je ne comprends pas bien qui raconte, l’auteur entasse paradoxe sur paradoxe, et finalement je ne comprends pas grand‘chose. Alors au bout de deux cents pages, lues en espérant que tout s’éclaire, j’abandonne un livre qui n’en comporte que trois cents.
J’ai passé l’âge de prendre un discours amphigourique pour de la profonde sagesse et m’en tiens au propos de Boileau « ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ».
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