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Les notes de lectures recherchées |
3 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 2 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : amour, folie, islande, nouvelles, vie quotidienne
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[Pendant qu'il te regarde tu es la Vierge Marie | Gudru...] |
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Auteur |
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Message |
Septentria
Sexe: Inscrit le: 17 Avr 2006 Messages: 910 Localisation: Ste Foy-Les-Lyon (69)
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Posté: Dim 23 Oct 2011 10:00
Sujet du message: [Pendant qu'il te regarde tu es la Vierge Marie | Gudru...]
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Nouvelles courtes racontant la vie quotidienne, l'amour, la folie.
Ce petit recueil est absolument impossible à décrire, tant dans son contenu (petites histoires banales, au fond) que dans son style, résolument décalé et fou. C'est merveilleusement bien écrit mais chaque histoire laisse une impression étrange, voire dérangeante par moments. Une nouvelle bizarrerie de la littérature islandaise ! ;-)
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[Pendant qu'il te regarde tu es la Vierge Marie | Gudru...] |
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Auteur |
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Message |
BMR
Sexe: Inscrit le: 30 Avr 2007 Messages: 155 Localisation: Paris
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Posté: Sam 24 Mai 2008 11:34
Sujet du message: [Pendant qu'il te regarde tu es la Vierge Marie | Gudru...]
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Commentaires : 0 >> |
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Ce bouquin remporte dès la couverture deux palmes d'or : le titre et le patronyme les plus longs.
Le titre : Pendant qu'il te regarde, tu es la Vierge Marie, "Á meðan hann horfir á þig ertu María mey" en VO.
L'auteure : Gudrùn Eva Minervudòttir, une islandaise ça coule de source (chaude).
Les longueurs s'arrêtent là, car bien au contraire, le bouquin est fait de nouvelles, de très courtes nouvelles.
On va souvent chercher l'exotisme en orient, en extrême-orient même.
Il n'est pas besoin d'aller si loin. L'Islande recèle bien des mystères.
Des mystères policiers et criminels comme ceux découverts avec Arnaldur Indridason.
Des mystères humains comme ceux mis en scène par la jeune Gudrùn Eva Minervudòttir.
Quelques courtes nouvelles (à peine quelques pages parfois) parsemées d'un grain de folie et mettant en scène tantôt la solitude des êtres (des femmes souvent), tantôt des rencontres incertaines dont on ne sait trop ce qu'elles vont donner.
[...] Je t'ai essuyée, d'abord tout le corps, et puis les cheveux en frottant vite et fort parce que c'est comme ça qu'on fait sécher les cheveux.
Une écriture fluide et agréable ais pleine d'étrangeté, qui saisit les êtres dans des instants improbables.
Sans doute le bouquin le plus «japonais» qu'on ait lu en dehors du pays du soleil levant.
On regrette cependant que ces nouvelles trop courtes ne laissent finalement qu'une fugitive impression.
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