Tohru, mignonne et courageuse lycéenne, vivait sous une tente, dans les bois. Recueillie pour ses talents en matière de travaux ménagers par la famille de Yuki Soma, un de ses camarades de classe, Tohru vit maintenant entourée de garçons dans une grande maison. Mais ce qu'elle ignore, c'est que la famille Soma est victime d'une malédiction cachée. Certains de ses membres se transforment, dans des circonstances particulières, en un des douze animaux du zodiaque chinois ! Avec d'aussi étranges personnages, la nouvelle vie de Tohru va lui réserver de nombreuses surprises...

Fruits Basket et un chouette mange shojo (pour faire un raccourci : "pour filles").
Tohru est certes un peu trop niaise, et a un peu trop bon coeur pour être vraisemblable, mais on ferme les yeux sur cette petite faiblesse assez répandue dans ce type de mangas. On trouve aussi des rebondissements un peu trop abracadabrants, ou au contraire trop attendus, mais ça finit par faire le charme de la série, au fur et à mesure que l'on lit les tomes. On finit par se demander ce que l'auteur a bien pu nous inventer cette fois-ci!
Il y a bien sûr plusieurs points d'interrogation, qui constituent les "fils rouges" de l'histoire, d'un tome à l'autre. Qui se transforme en quel animal? Machin et truc vont-ils enfin se réconcilier? La malédiction qui frappe bidule est-elle réellement inéluctable? *prénoms volontairement modifiés pour garder un peu de suspense* Et surtout, bien évidemment... duquel Tohru va-t-elle finalement tomber amoureuse?

Attention, cette série est un shojo, autant dire que c'est plein de jeunes filles en fleur, de beau garçons androgynes et de beaux sentiments.
Une fois cette avertissement posé, je dirais que ma fois, pour la où j'en suis (fin du tome 8) Fruits basket, ce n'est pas mal du tout, et j'ai même hâte de voir venir la suite.

en gros pour l'histoire rapidement, Tohru, orpeline, trouve refuge chez un garçon de sa classe. le seul hic c'est que le dit garçon est issu d'une famille maudite de génération en génération. 13 personnes dans la famille ont donc le maheur de se transformer en un des animaux du zodiaque chinois dès qu'une personne du sexe opposée la prend dans ses bras. Autant dire que les jeunes gens maudits se voient interdire toute marque d'affection, vivent dans le secret et l'isolement. L'expérince, pas facile quand on est enfant et adolescent, laisse aussi des séquelles aux adultes. Petit garçon dur, petite fille muette, adolescent fugueur...
l'arrivée de Tohru dans la famille toujours positive et prête à tout pour aider (elle st un peu cruche, en réalité) va aider un peut tout le monde à recoller les morceaux.

C'est très japonais : scènes répétitives d'humour, de bagarre. Beaucoup d'émotion, et petit à petit, les personnages se dévoilent, les relations se nouent, le mystère autour de certains personnages s'épaissit et esperons le, s'éclaircira un jour.