4 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 3 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : alcoolisme, errance, etats-unis, famille, fils, new-york, pere, relation pere-fils, sans-abri, sdf, ville
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[Encore une nuit de merde dans cette ville pourrie | Nic...] |
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Auteur |
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Message |
sylviou
Sexe: Inscrit le: 20 Avr 2006 Messages: 459 Localisation: Suisse - Neuchâtel
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Posté: Mer 06 Fév 2008 19:38
Sujet du message: [Encore une nuit de merde dans cette ville pourrie | Nic...]
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4e de couverture : "j'ai travaillé auprès des sans-abri de 1984 à 1990. En 1987, mon père s'est trouvé à la rue, est resté sans-abri près de cinq ans." Nick Flynn n'avait pas connu son père. Ce dernier, écrivain sans oeuvre un brin mythomane, menait une vie de bohème et de petits trafics, tandis que son fils, lui-même apprenti poète, traversait une jeunesse instable et ponctuée de drames. Jusqu'à leur rencontre dans un asile pour SDF de Boston. Les souvenirs affluent alors, en désordre, à l'image de ce roman familial chaotique.
Pour autant, ce livre ne se réduit ni à un document social sur la misère urbaine, ni à un simple récit autobiographique. S'il rend dignité et parole à toute une humanité souffrante, il s'agit avant tout d'une méditation de poète sur la filiation, hantée par le spectre du roi Lear et les échos de Beckett. Sans apitoiement, dans une langue fulgurante, Nick Flynn use tour à tour de toutes les formes littéraires pour cerner enfin la mythique figure paternelle, dans l'espoir de donner ordre et sens à sa propre vie. Cette entreprise héroïque, à la portée universelle, devient ainsi un acte de foi dans la grandeur de la littérature."
Mon avis : une plongée dans la vie de l'auteur, oui en désordre et chaotique. Pleine de sensibilté, de doutes, d'incertitudes. Recherche de ce que l'on est, de l'héritage parental, de comment se construire malgré et avec ça. Le sentiment que me laisse ce livre est à rapprocher de ce dont je me souviens du livre de Trezza Azzopardi, "Ne m'oubliez pas". Beaucoup de misère affective et pousser là au milieu malgré tout.
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[Encore une nuit de merde dans cette ville pourrie | Nic...] |
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Auteur |
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Message |
sileya
Sexe: Inscrit le: 12 Nov 2006 Messages: 323 Localisation: Bulle, Suisse
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Posté: Ven 01 Juin 2007 15:07
Sujet du message: [Encore une nuit de merde dans cette ville pourrie | Nic...]
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J'ai tenté de me lancer dans cette lecture 4 fois et je n'arrive pas à dépasser la 2ème page. :-(
Ce n'est pas le genre d'histoire que j'ai envie de lire en ce moment, je crois.
Et comme j'ai assez d'autres choses à lire, j'abandonne.
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[Encore une nuit de merde dans cette ville pourrie | Nic...] |
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Auteur |
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Message |
Nanou
Sexe: Inscrit le: 05 Fév 2007 Messages: 101 Localisation: Ile de France
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Posté: Sam 19 Mai 2007 12:39
Sujet du message: [Encore une nuit de merde dans cette ville pourrie | Nic...]
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Pas facile de faire un billet sur ce livre à la construction très fluide, c'est pourquoi j'ai inséré la présentation de l'éditeur qui sonne juste. J'ai aimé le regard posé sur les personnages sans aucun pathos malgré le sujet, pas froid non plus mais comme à distance à travers une sorte de brouillard comme eux-même se tiennent à distance de leur mal-être au moyen de l'alcool ou de la drogue. Pas très clair...mais je n'arrive à mieux dire pour l'instant.
Présentation de l'éditeur
"« J’ai travaillé auprès des sans-abri de 1984 à 1990. En 1987, mon père s’est trouvé à la rue, est resté sans-abri près de cinq ans. »
Nick Flynn n’avait pas connu son père. Ce dernier, écrivain sans œuvre un brin mythomane, menait une vie de bohème et de petits trafics, tandis que son fils, lui-même apprenti poète, traversait une jeunesse instable et ponctuée de drames. Jusqu’à leur rencontre dans un asile pour SDF de Boston. Les souvenirs affluent alors, en désordre, à l’image d’un roman familial chaotique.
Pour autant, ce livre ne se réduit ni à un document social sur la misère urbaine, ni à un simple récit autobiographique. S’il rend dignité et parole à toute une humanité souffrante, il s’agit avant tout d’une méditation de poète sur la filiation, hantée par le spectre du roi Lear et les échos de Beckett. Sans apitoiement, dans une langue fulgurante, Nick Flynn use tour à tour de toutes les formes littéraires pour cerner enfin la mythique figure paternelle, dans l’espoir de donner ordre et sens à sa propre vie. Cette entreprise héroïque, à la portée universelle, devient ainsi un acte de foi dans la grandeur de la littérature."
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