Se confier aux alizés et aux courants de l’Atlantique après avoir abandonné le sillon des rails, aborder l’île de Sainte-Hélène, y vêtir les singes avec la garde-robe chamarrée du grand traîneur de sabre, reprendre la mer et se faire remorquer jusqu’à la côte du Brésil par un sous-marin allemand sont les moindres péripéties d’une saga foisonnante sous laquelle court une trame plus secrète et non moins essentielle. Le narrateur suit sa propre pente, celle d’un dilettante et d’un rêveur. Lorsque sa foi vacille, que la science se dérobe, que les hommes se déchirent ou prennent leurs distances, le chef de la petite expédition se tourne vers la nature apaisante et les images inépuisables de la forêt.
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