Attention, la fin du livre est évoquée ;-)

Comment dire ? Et bien, vraiment, je n'ai pas réussi à accrocher
à cette histoire. D'abord, le style utilisé m'a rendu la lecture
difficile, voir pénible, même si on finit par s'y faire un peu.

Et puis après, cette histoire : pas moyen pour moi de la trouver
crédible, et du coup l'histoire ne m'apparaît plus vraisemblable,
et du coup, impossible de s'immerger dedans.

Et puis alors, ces meurtres d'enfants entre enfants, m'ont
laissé une très désagréable impression, voir un grand malaise.
Et là aussi, ces situations m'ont paru vraiment peu crédibles.

Et cette fin qui tombe comme un cheveu dans la soupe. D'où
sort-il ce bateau avec ces adultes qui sauvent ces enfants
perdus.

Bon, ce n'était pas un livre pour moi, je vais me tourner vers
d'autres lectures.

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Ce livre est pour moi une parabole de la corruption exercée par le pouvoir symbolisé par la conque. Je l'ai aimé.
Il est évidemment invraisemblable, mais ce n'est pas son propos.
Et l'auteur n'a pas l'air d'accord avec la physique : essayez d'allumer du feu avec des lunettes de myope, qui sont des lentilles divergentes !!!

Oui, mon côté cartésien a sans doute voulu y voir une lecture
un peu trop "au pied de la lettre", et c'est certainement une erreur.

A travers ce miroir déformant, on peut y lire une
description de nos sociétés et modes de vie.

Bon, la prochaine fois j'enlève l'armure avant de lire
le livre.