[L'antiquaire de Zurich | Michael Pye, Maryse Leynaud (Traducteur)]

J'ai rarement lu un livre aussi mal embouché : ellipses inopportunes, focalisation incertaine, cohérence aléatoire... de quoi dégoûter le lecteur le plus indulgent. Et pourtant l'intrigue présentée en 4° page de couverture me semblait très intéressante : pendant la 2° guerre mondiale, une femme juive a été dépouillée de ses biens par une "amie". Bien des années plus tard, elle reconnaît dans un magasin de Zurich un objet auquel elle tenait particulièrement. Et elle commence des démarches pour confondre la voleuse. Eh bien, je me suis arrêtée à la page 256, excédée par cette narration maladroite.

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