Oulàlà j'aurai du mal à écrire une note sur ce livre. Je ne suis pas sûre si j'ai aimé ou non!
Muriel Barbery est sans doute une auteur douée qui a une belle plume au point que, des fois, j'avais l'impression qu'elle devait bien aimer "s'écouter écrire", ça faisait un peu présomptueux. L'idée de départ est bien aussi, même si le livre est un peu long à démarrer. En fait, c'est la partie moyenne qui m'a le plus plu. J'ai beaucoup aimé la scène dans laquelle Renée cite la première phrase de
Anna Karenina, Kakuro reprend la suite et la troisième personne qui est présente ne se rend compte de rien. C'est une belle façon de faire connaissance et de "se reconnaître".
Puis en ce qui concerne la fin, alors que je la trouvais un peu baclée, elle était nécessaire d'une certaine façon, sinon le livre aurait couru le risque de s'enfoncer dans un kitsch épouvantable et tout à fait invraisemblable. Sinon, et là aussi je suis d'accord avec Teresa, pas mal de clichés...
Mais, en dépit de tout, en gros j'ai pris plaisir à lire ce livre et il s'agit certainement d'une auteure à suivre... Et le titre est génial bien sûr...
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