[A la vitesse de la lumière | Javier Cercas, Elisabeth Beyer (Traducteur), Aleksandar Grujicic (Traducteur)]
Au début (le narrateur, étudiant espagnol, se voit proposer un poste dans une université aux USA, où il fait la connaissance de Rodney, vétéran du Vietnam), le style m'a vraiment dérangée. Les phrases sont longues, beaucoup de virgules, des redondances... je me suis demandée si cela tenait à la traduction, un pro saura me dire.
La deuxième partie est l'histoire de Rodney au Vietnam, et sa difficile (impossible, on le comprendra après) réinsertion.
Puis on retourne en Espagne, le narrateur est devenu écrivain, a du succès, et se laisse griser/briser. Au fond du trou, il souhaite revoir son ami Rodney et le recontacte après des mois de silence...
Un livre sur l'ignominie de la guerre, la bestialité en chacun de nous, la culpabilité, le deuil, et le pouvoir de l'écriture pour dépasser tout ça.
Eh bien... vite lu parce qu'il me tardait de passer au suivant !
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