Le mystère de l'amour unique qui unit Héloïse au plus célèbre maître de philosophie du XIIème siècle : Abélard. Antoine Audouard s'attache à restituer l'incroyable vitalité de l'époque, loin des clichés sur la nuit médiévale.

Le narrateur, Guillaume, une invention du romancier, est un jeune anglais, élève puis fils et frère d'aventure d'Abélard. La force intellectuelle d'Abélard le fascine et Abélard est touché par l'intelligence de cœur de son disciple.
Guillaume aime, lui aussi, Héloïse, qu'il a sauvé de la presse, un jour de procession.
"Adieu, mon unique" est donc un roman d'amour à trois : les deux amants et lui, Guillaume, qui aime une dame qui ne viendra pas vers lui et qui sert un maître qu'il n'a pas chercher.
C'est un roman tissé comme une tapisserie médiévale, foisonnant de détails, haut en couleurs, imagé.
On y découvre la France de l'époque, le Paris du XII° siècle, un siècle fourmillant des idées qui s'échangent et circulent, des débats, des controverses.

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