600 pages dans sa version de poche. Et combien de pages inutiles.
En effet, si Joël Dicker a l'art de mêler les intrigues, les histoires entre ses nombreux personnages (cf. La Vérité...), cela ne suffit pas. Il faut encore que l'histoire générale nous accroche, pour ne plus nous laisser jusqu'à la fin. DIcker use des fash backs et nous voilà renvoyés en différentes années de la fin du XXe siècle, et du début du XXIe siècle. On s'y perd,au pire ou au mieux, c'est déconcertant.
Bref, je me suis ennuyé, je n'ai pas cru longtemps aux heurs et malheurs des familles Goldman. Ce qui fait que 600 pages, c'est long...
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