Cacophonie énorme dans les premières répliques. Certes, Giono allait peu à Paris, mais il est évident qu'il connaissait son théâtre contemporain et on pense très fort à la poésie des répliques du théâtre de Giraudoux en lisant les échanges artificiels mis dans la bouche de villageois d'un hameau si perdu qu'il pourrait s'appeler Dogville, aussi artificiels que des bucoliques, dans un autre style ; mais les comparaisons s'arrêtent là. Le mystère est grand sur l'avenir de Jean. La fin est frappante, impressionnante, éclaire tout, y compris le titre.
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