Difficile de parler de ce très court récit sans en dévoiler son ressort secret (ce que fait d'ailleurs sans vergogne Actes Sud dans sa quatrième de couv !) alors je ne dirais de ce livre que ceci : c'est une perle, éclatante et sombre à la fois, qui m'a fait penser au poème d'Antoine Pol "Les passantes" que Brassens a su si bien chanter :
Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu’on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu’on connaît à peine
Qu’un destin différent entraîne
Et qu’on ne retrouve jamais
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