Le Guerrier solitaire est un bon Mankel, et ce fut avec plaisir que j'ai retrouvé l'insoecteur Kurt Walander.
L'enquête qu'il dirige là est très difficile, oppressante, haletante, avec beaucoup de faux espoirs, de cafés, de réunions, de fatigue. Faut dire que les crimes en série sont horribles puisque réalisés à la hache et déconcertants car avec des fausses pistes.
Bien sûr à la fin, le crime est résolu, le meurtrier attrapé. La fin, justement, donne une idée assez vraisemblable de la conjugaison des moyens policiers dans un course contre la montre pour trouver l'assassin.
De la belle ouvrage;
Mankel explore comme toujours, la société suédoise, jadis 3si prospère, si sûre et si propre", qui se désagrège, y compris dans les endroits auparavant sans histoire.
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