Du très bon, forcément, du Pennac.
Enfin quand je dis forcément, ce n'est pas une évidence en soi : je parle juste de mes goûts.

J'ai raffolé ce livre qui est comme une suite de "comme un roman".
A lire.

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Deuxième lecture de ce livre, suite à achat d'occasion.
Ben y'a pas à dire, j'aime, j'aime, j'aime. Je comprends bien les reproches qu'on peut lui faire, mais Pennac parle à mon coeur dès qu'il écrit, j'ai toujours l'impression qu'il parle de moi.
Heu, y'en a d'autres dans ce cas?

Je n'ai pas lu.
On me l'a résumé vite fait : c'est un ancien cancre qui dit que tout est de la faute de ses anciens profs.
C'est ça ?

Tiens, je ne l'ai pas lu comme ça. Du coup c'est drôle, ça me fait rire. Mais non, du tout, je vois plutôt un ancien cancre qui vante les mérites de ses anciens profs qui l'ont sauvé - selon lui - de la noyade.

Il fait donc l'éloge des pédagogues qui ont su l'intéresser à leurs matières, plutôt que de distribuer un cours sans s'inquiéter de l'humain qui reçoit.

Ah oui, c'est carrément le contraire !

J'ai eu le bonheur d'écouter Daniel Pennac parler à une mini-table ronde/débat/allocution d'ouverture (ou de fermeture) d'une journée sur les troubles des apprentissages, avec le Professeur Olivier Revol, pédopsychiatre lyonnais qui s'intéresse aux enfants souffrant de déficit d'attention, aux enfants en souffrance d'école...
Daniel Pennac a été un cancre, puis est devenu enseignant.
Et je pense que la lecture de Laudateur est la bonne...