Isaku a neuf ans quand son père, ayant vendu sa force de travail, part au loin:
« le meilleur moyen de lutter contre la famine était de se vendre. Un marchand de sel servait d’intermédiaire, et versait une certaine somme à la famille qui achetait alors les céréales lui permettant de subsister »
Il devient donc le chef de famille et doit nourrir et protéger sa mère son petit frère et ses deux sœurs.
Je n’en dit pas plus pour ne pas déflorer l’histoire. Certains ne l’ont pas encore lu.
Ce que je peux dire, c’est que j’ai beaucoup aimé ce roman.
Sublime !
C’est fort et cruel, mais la misère est cruelle et Isaku a la force d’affronter cette cruauté parce qu’il veux vivre et qu’il n’y a guère d’autre échappatoire.
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