Nous sommes en hiver et après une séparation douloureuse, alors que la folie la guette, la narratrice décide de partir pour Venise. Elle loue une chambre et on va suivre pas à pas ces pérégrinations dans la ville. Enfin, en tout cas jusque la page 40 car je me suis arrêtée là... Je ne supportais plus cette héroïne qui se regarde le nombril ! Je ne juge pas son chagrin bien sûr et au contraire mais fallait-il en faire un livre ?? J'ai eu envie de la secouer et de lui dire "maintenant ça va bien !!" (j'exagère un peu... )en tout cas, je n'ai pas eu envie de la suivre. Je n'ai pas non plus aimé le style minimaliste de Claudie Gallay, il donne un rythme poussif au texte et j'avais un peu l'impression d'étouffer dans cette athmosphère confinée. J'imagine (elle a rencontré un libraire) qu'il y aura une "renaissance", un retour à la vie et peut-être le style va alors se déployer mais je n'ai pas eu la patience d'attendre.
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