[Dans la ville des veuves intrépides | James Cañón, Robert Davreu (Traducteur)]
Ah les femmes de Mariquita, ce sont de sacrées bonnes femmes. Privées de leurs hommes, emmenés par les guérilleros, elles vont réinventer leurs vies sans eux. Chaque chapitre est une tranche de la vie de chacune de ces femmes : L’infirmière qui a peur du sang, l’autoritaire Rosalba qui devient maire du village…
C’est plein d’imagination, c’est drôle, croustillant.
Voilà à lire un petit bijou truffé d’humour.
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