J'avais déjà essayé de lire ce roman et n'avais pas réussi à y entrer.
Aujourd'hui je n'ai eu aucune difficulté, et je ne sais pas pourquoi, si ce n'est que le roman commence lentement, rappelant étrangement le "désert des tartares", mais son évolution l'en dissocie totalement.
J'ai beaucoup aimé la langue de Gracq, la poésie du texte, l'atmosphère étouffante, angoissante, de décadence inexorable, de destin en marche, de pourrissement.
Les actes des héros semblent inévitables, téléguidés par le destin.
----
[Recherchez la page de l'auteur de ce livre sur
Wikipedia]
Afficher toutes les notes de lectures pour ce livre