[Les chaussures italiennes | Henning Mankell, Anna Gibson (Traducteur)]
C'est un beau livre mais si empreint de tristesse, de regrets. Fredrik nous fait part de ses impressions sur la maladie,la mort , ses erreurs, ses trahisons; et ce personnage vulnérable nous est proche.
"J'étais un petit être effrayé qui avait vu, en la personne de mon père, l'enfer brutal qui pouvait nous guetter une fois qu'on devenait adulte."
Mais Giaconelli fabrique des chaussures rouges , bleues ou noires avec une touche de violet....
"Je venais de rencontrer un maître dans un village abandonné des grandes forêts du Nord. Loin des villes , il existait ainsi des gens qui vivaient cachés et qui possédaient des connaissances merveilleuses et inattendues".
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