C'est le Rougon-Macquart que j'ai le moins apprécié : tous ces perpétuels étalages de victuailles m'ont vite lassé. L'opposition entre les ventripotents marchands (la belle Normade poissonnière, la belle Lisa charcutière, la mollesse de son mari Quenu) et le na¨f révolutionnaire Florent épris de libertés, est vraiment trop caricaturale.
La division de l'humanité entre Gras et Maigres par le peintre Claude Lantier est amusante.
L'histoire, c'est celle de Florent injustement envoé au bagne de Cayenne et, de retour aux Halles de Paris, pris à partie par tout ce monde dur et égoiste puis, suite à de multiples dénonciations souvent anonymes, renvoyé au bagne pour ses idées.

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