un sentiment etrange(comme toujours avec Balzac)des les premiers chapitres une envie folle de referme le livre.Trop de description le logis,les meubles,la logeuse....c'est long.Puis petit a petit on se prend d'affection pour se pauvre curé naif et bon.L'auteur nous montre une formidable peinture de la vie de province.
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