Relecture. Un traité minuscule et sous forme dialoguée tout à fait agréable.
Y sont abordés les problèmes de l'ethnocentrisme et de la relativité des cultures.
Le bon sauvage et sa supposée carence en possessivité permet de souligner que l'éloignement de la nature a perverti l'homme (ça devait être à l'époque où Diderot et Rousseau étaient amis). Liberté sexuelle, absence de patrimoine immobilier, liberté morale et spirituelle, assurance sociale pour les plus faibles seraient les conditions d'une vie à la fois en harmonie avec notre nature animale et notre besoin de justice et de survie.
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