« Ring » de Koji Suzuki est un très beau libre : sa véritable essence va bien au-delà des malédictions « dans-sept-jours » décrites dans le /les film(s)-horror (mettons les points sur les i : ce roman plus qu'un
horror est un thriller paranormal), la vraie nature de « Ring » tient sur quelque chose de virulent, inquiétant, morbide et apocalyptique. Les autres points en sa faveur sont : super bon, le rythme de l’histoire à rebours; excellent, le chapitre final, avec les réflexions du protagoniste ; parfait, les explications sur la question de fond des « photographies psychiques »; de plus, le personnage de Sadako gagne beaucoup par rapport au film puisqu'il est moins
monstre et plus
personne. Je suis curieux maintenant de lire « Double hélice ».
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