[Historiquement correct - Pour en finir avec le passé unique | Jean Sévillia]

Voilà un excellent livre pour se réconcilier avec notre passé. Ici point de propagande, de jugement hâtif. De la chute l'empire romain, jusqu'à la guerre d'Algérie, tout est décrypté, et bon nombre de vérités sont rétablies. Encore un livre indispensable, pour tout personne qui ne veut plus se contenter de la "version officielle"!!!

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Dans l'Ex-empire soviétique il y avait des alter-ego de Sévilla qui nous affirmaient l'exact contraire de ce qu'il prétend nous démontrer aujourd'hui. On nous cache tout , on nous dit c'est rien... c'est très tendance.

C'est très tendance de quoi D'analyser notre Histoire autrement De ne pas se contenter de ce que nous racontent nos livres d'histoire Et là je parle de l'Histoire étudiée à l'école, pas de celle connue par un nombre restreint d'érudits
Mais encore une fois, de critiquer un livre, c'est une bonne chose, mais mieux vaut, dans l'optique d'un jugement impartial, le lire

Non ! pas analyser l'Histoire , qui la pauvre n'en demande pas tant, mais les faits oui ! Il y a chaque jour de nouvelles découvertes concernant des faits historiques (ainsi l'on vient de découvrir que Mussolini dans sa jeunesse aurait pu être un espion au service de l'Angleterre). Ensuite tenir compte de l'époque et du contexte dans lesquels l'historien parle ou écrit : quant Hypollite Taine écrivit "Les origines de la France contemporaine" c'était après 1848, après la guerre de 70, et il n'avait aucune idée de ce qui arrivera 40 ans plus tard...
Quant à l'histoire enseignée à l'école...je ne savais même pas que l'on enseignait "encore" l'histoire à "nos chères têtes blondes" (vu le niveau...).
Question tendance c'est effectivement la pente que prennent beaucoup d'auteurs dans des livres qui se veulent novateurs mais qui sont proches de la forfaiture par la volonté de leur auteur de tordre les faits (les faits, les chiffres, les dates...) afin qu'ils coïncident avec leur idéologie.

Deux exemples: dire que les guerres de Ve. ndée ce fut un génocide (comme l'a dit P de Villiers) : forfaiture ! massacre inique , oui sans aucuns doute ; mais ou est l'intention, les documents, la volonté dans les ordres de la Convention de faire disparaitre les "Vendéens" ?

Francisco Franco est un fasciste. Là encore stupidité. Le fascisme c'est autre chose que la gouvernance à la petite semaine du caudillo. Dictateur , despote ok. Mais c'était tellement facile à une certaine époque (et même encore aujouud'hui) d'ostraciser en lançant l'injure suprême : fasciste !
...et la preuve cette semaine quant un ponte de l'UMP eu le toupet de dire que l'attaque nominative sur Jean Sarkosy c'était le commencement du ....fascisme !

Alors les faits, rien que les faits.

En vous lisant amiread1, je suis convaincu que le livre de Jean Sevillia vous plaira énormément, et le jour où vous l'aurez lu, ce sera avec un plaisir non dissimulé que j'en débattrai avec vous
Concernant les vendéens, je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous, mais j'avoue que ma connaissance du sujet n'est pas encore assez importante pour argumenter sérieusement. Je compte bien entendu remédier à ces lacunes

Bonjour Amiread,
à mon tour de te dire merci, même si TooRop ne fera que nous répondre de lire ses bouquins... (Si un jour les gens comme lui devenaient majoritaires, je me demande d'ailleurs si nous ne serions obligés de ne lire que ça...)
Mussolini peut-être espion anglais? Ca ne m'étonne presque pas. Surtout sachant qu'il a reçu un soutien visceral de la chancellerie britannique au moins jusqu'en 1940, et même sur la question de l'annexion de l'Albanie et sur ses premiers plans d'invasion Yougoslave (j'étais tombé par hasard sur un document diplomatique italien secret à ce sujet).
Le Caudillo pas fasciste? Ouais, peut être du point de vue de l'improvisation gouvernementale. Pourtant les autres "copains" de l'Axe le prenaient bien pour l'un des leurs, et il n'en avait pas l'air fâché!...
L'abus sémantique du mot "fascisme" (qui hélas! devient de mois en mois "l'injure suprême", en tout cas en Italie) s'observe très bien dans le cas de Berlusconi. J'ai même tendance à supposer que dans l'affaire Jean Sarkozy on a pu vouloir dire qu'il s'agissait du commencement du... "berlusconisme", chose qui me paraît vraie à moitié (mais je ne dirai pas QUELLE moitié!!!)

Mais non TooRop, Apo n'a dit nul part que tu lisais des bouquins de merde ; permet-moi de préciser juste une chose ; nous avons chacun nos "idées" propre s tant au niveau social, religieux, politique.... et il est humain que nous recherchions des ouvrages qui confortent ce à quoi nous croyons. Je suis sûr que tu te fais ta petite idée sur nos opinions respectives sur Apo et ma pomme.... Pour Apo je ne suis pas à sa place, et pour moi tu serais peut-être étonné. En tous cas mon impératif catégorique par delà nos idées divergentes (si ça se trouve pas tant que ça....) c'est de ne jamais ostraciser l'Autre ; voilà.

Bon tu ne m'enlèveras pas de l'idée que Sévilla , vu son cursus, il allait pas porter aux nues la Révolution de 89 et ses suites jusqu'à nos jours