Finit et sur ma faim... :neutre:
J'ai trouvé ce roman trop court et du coup pas abouti. J'ai l'impression qu'il manque un bout, un fin enfin bref j'ai beaucoup moins aimé ce livre aux autres (Les sirènes de Bagdad et l'Attentat)
Ce qui m'a énervé au plus au point c'est la place de la femme dans cette société d'ailleurs voici un passage que j'ai, comment dire, "détesté" tellement ça m'a énervé :colere1:
Y a-t-il générosité plus grande, pour une femme, que de souffrir, que de lui offrir un toit, une protection, un honneur et un nom? Tu ne lui dois rien. C'est à elle de s'incliner devant ton geste, Atiq, de baiser un à un tes orteils chaque fois que tu te déchausses. Elle ne signifie pas grand chose en dehors de ce que tu représentes pour elle. Ce n'est qu'une subalterne. De plus, aucun homme ne doit quoi que ce soit à une femme. Le malheur du monde vient justement de ce malentendu.
Ensuite dans ce roman on voit une société qui étouffe sous la répression, personne ne peut plus rien faire.
Les femmes porte le tchadri ce qui n'a rien à voir avec la couverture du livre :choc: elles ont le visage grillagé dans un tissu noir où la chaleur les étouffe... mais ce sont des femmes donc elles n'ont rien à dire et pas le droit d'exister an quelque somme.
Dans ce roman ce qui m'a également perturbé c'est que Atiq sauve Zunaira de la peine de mort mais que devient elle?? Elle est passée où??? A quoi sert finalement la condamnation de Muzara? Je ne comprends pas, en fait, la réaction de Zunaira à la fin de ce roman et c'est pour cela que je le trouve inaboutie finalement.
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