Un petit conte de
huit pages assez divertissant, qui illustre toujours le pessimisme voltairien : Memnon prend des résolutions qui nous paraissent bonnes mais ne parvient pas pour autant à éviter les malheurs. Le dialogue final avec l'ange, qui, à la manière des philosophes "optimistes" (Pope, Leibniz) dit qu'on ne voit la perfection du monde que de loin et dans sa globalité, met en évidence qu'il n'empêche qu'en regardant au cas par cas et de près, il devient impossible de tenir cette position.
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