Un jour d'été, les morts se relèvent. Petit à petit. On les laisse "revenir", ils ne font rien, déambulent, essayent de se rapprocher des vivants, mais pas trop.
Seulement le héros, qui est gérant d'un funérarium, lui, il se méfie... Et ça lui fout la trouille tout ça.
Pas comme à sa fille qui va leur faire des câlins dans les prés, et à sa femme qui ramène belle-maman en décomposition à la maison.
Et puis, les morts commencent à manger des animaux, leurs cervelles... et semblent se régénérer au fil du temps... Puis ils s'attaquent aux humains.
Le n'Héros, après plein d'histoires de famille, se retrouve tout seul et finit par rejoindre un camp de résistant. Mais les morts sont de plus en plus nombreux... et le feu, seul élément capable de les anéantir, ne suffit plus.
C'est bien écrit. correct quoi.
On sent du Romero évidemment(parce que les morts reproduisent, semblent vouloir revenir à leur vie d'avant).
C'est tout plein de tristesse, de solitude, d'abandon (Je suis une légende de Matheson traîne pas loin).
ça se lit très bien, et y'a vraiment de "belles" idées.
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