Ce recueil est constitué de variations imaginaires autour d'une passion.
L'histoire est reprise à chaque mort du héros, à chaque désillusion sentimentale.
Métaphore de la quête amoureuse ces textes ne sont nullement de simples juxtapositions.
Le texte qui suit "Ce qui est épars" n'est pas là non plus par hasard, il suit apparemment une structure nécessaire qui souligne l'espoir sans cesse recommencé.

Plus fort que "Et pourquoi pas Narbonne?", de ce même auteur, qui était déjà de grande qualité.

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