Une lecture qui me laisse un peu perplexe : je ne vois pas bien l'unité du récit. Mon attente devant un roman de Le Clézio es t toujours très forte, peut-être est-ce cela qui explique ma relative insatisfaction. La langue est pourtant toujours enchanteresse. Tous les noms, en particulier de lieux, volcans, rivières, villes et villages, en renforcent la magie.
Des pages magnifiques, entre autres, celles où le narrateur relate la conférence qu'il a donnée devant l'assemblée des savants-chercheurs de l'Emporio :
"J'ai fait le portrait de la terre..." pages 75 et suivantes.
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