[La trace : Le dernier secret de Jean-Paul II | Frédéric Bovis, Jean-François Lopez, Léopold Jorge]
Emmanuel de Saint-André, élevé dans la pure tradition catholique, est néanmoins un archéologue et un historien des religions agnostique. Il est contacté par Julius Rilke, avocat du prestigieux cabinet newyorkais Cross and Weill pour l’entretenir d’une relation que son arrière Jean grand-père aurait eu avec le docteur Abel Reinzmann. Le cabinet d’avocats a pour mission de répertorier les coffres-forts suisses de Juifs disparus pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ils ont donc rendez-vous dans la capitale du chocolat et du secret : Zurich.
Mais là, tout va basculer pour Emmanuel, donnant au roman des allures d’Indiana Jones. Prenant connaissance d’une sacoche remplie de documents historiques, il retourne sur les traces de son arrière grand-père, il emboîte le pas de nombreux hommes illustres qui ont cachés un rouleau de parchemins ainsi que…le Graal, la coupe qui a contenu le Sang du Christ. Il est alors lui-même poursuivi par une secte mystérieuse d’hommes qui ont deux points communs : un tatouage représentant un diamant noir et leur allégeance à l’Ange déchu, celui qui se donne comme mission de contrecarrer les intentions de Dieu. Leur Trinité est Argent, Luxure et Pouvoir.
Des secrets de Rennes-le-Château aux fondations du Temple de Jérusalem, Emmanuel marche dans les pas de Joseph d’Arimathie, Hugues de Payns, Jacques de Molay, le Comte de Beaujeu, Béraud de Laons, l’abbé Saunière, Pierre d’Aumont et d’autres qui ont fait acte de bravoure pour cacher le Calice. A la suite de son arrière grand-père, Emmanuel retrouvera-t-il le Graal ? Les auteurs donnent une morale à cette aventure plus que millénaire : avons-nous besoins de retrouver le Sang du Christ et de le montrer au monde ? Finalement, cela n’enlèverait-il pas le bonheur de la quête ? Et puis, avons-nous besoin de cela pour croire ?
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