Kikuji, les deux amantes du père défunt, Fumiko, la fille d'une de celles-ci, et Yukiko, la jeune fille aux oiseaux blancs. Un roman bref et aux traits délicats…
Quand je lisais ce roman de Kawabata, ce sont des sensations et non la trame de l’histoire que me restaient en pensée : comme, une légère tiédeur de fin d’automne, le rose et le blanc, la rugosité d'une tasse de thé.
En effet, la cérémonie ancestrale de thé sert, dans ce roman, de toile de fond et les tasses vieilles de trois cents ans passent de main en main et restent, ce ne sont pas des objets inanimés mais ils vivent, presque plus que les personnages humains, qui sont à la fin que des corps dans lesquels passent des amours plus vieux qu'eux …
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