La dame blanche nous conte la vie recluse de la poétesse américaine Emily Dickinson. Nous sentons une grande admiration de l'auteur à l'égard de sa muse.
La plume se fait légère, poétique, lyrique… mais cette légèreté finit par conduire à un manque de profondeur et un certain ennui en ce qui me concerne.
Heureusement que ce roman soit court car je me suis éloignée du sujet au fur et à mesure de la lecture et j'aurais certainement abandonné le récit s'il comportait une cinquantaine de pages supplémentaires.
Je suis donc très mitigée quant à cette lecture et je n'ai pas l'impression d'avoir vraiment appris grand-chose sur Emily Dickinson. Il manque un je ne sais quoi de "substance" dans ce roman, Emily Dickinson n'a jamais vraiment pris corps dans ma tête.
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