‘Caresse de rouge’ commence tel un mélo et s'achève en roman noir, en polar sombre dont le dénouement, inattendu et violent, frôle le génie.
Certes, l’écriture de Fottorino est économe et froide, le propos pas gai pour un sou et il frôle la limite ténue du désordre psychique. Pourtant, pas une page n’est glauque et on sort le coeur lourd en se disant qu’un bon livre vaut bien un chagrin.
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