Attention, autobiographie !Christophe Mercier, écrivain, est arrêté alors qu'il roule très doucement, mais a (paraît-il) 0.7 g d'alcool dans le sang. Il se retrouve alors entraîné dans une procédure de garde à vue complètement disproportionnée par rapport au délit commis, avec une disparition totale de la circulation et interdiction de prévenir qui que ce soit des raisons de sa disparition (y compris sa mère cardiaque qui arrive à Paris chez lui dans l'après-midi et s'attend à l'y trouver) pendant huit heures (après quoi sa "véritable garde à vue" commence !).
Ce court récit (30 pages) s'achève par la lettre de sa mère à Nicolas Sarkozy pour demander notamment dans quel corps policier d'Etat totalitaire (Gestapo, Stasi...) ces policiers ont été priés de chercher un modèle et si nous devons désormais considérer une telle mésaventure comme "normale" ou la blâmer comme un abus, une bavure ?
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