Une pochade sans intérêt à l'humour grossier et démodé. On peut sourire par instant mais je ne me suis jamais ébaudie
Le livre est bien écrit et il y a quelques trouvailles linguistiques qui ne suffisent pas à en justifier la lecture (ma justification : c'est le seul livre que j'avais sur moi dans les transports en commun)

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Tiens, moi au contraire j'ai le vague souvenir de m'être esclaffé. Mais je n'en ai guère de précis, puisqu'il s'agit pour moi d'une lecture d'adolescent, qui m'avait été suggérée par un ami que j'estimais beaucoup. Peut-être avais-je bien apprécié la camaraderie masculine représentée dans le roman, dont justement j'aimais à faire la projection avec la relation qui me liait au prêteur du livre. (A chacun sa justification )

Je pense que l'âge (et peut-être le sexe) jouent dans l'appréciation de l'humour.
Par ailleurs j'ai du mal à accepter les livres qui banalisent des comportements, à mes yeux, dangereux pour la santé (ici l'ivresse, à notre époque la consommation de drogue)

Tu as très certainement raison quant à l'âge et au genre, particulièrement pour ce roman qui est sans doute très masculin et juvénile (même dans sa couverture que j'ai aussitôt reconnue !) ; irai-je jusqu'à dire que l'acceptation des ivresses elle aussi, outre le jugement sur l'humour, relèverait des deux paramètres cités... ?