La tante Marjorie, gaie, pimpante, riche d'un passé îlien aux Antipodes a été assassinée. A feu doux. Par son propre mari, l'Oncle, parangon du sale mec, grande gueule, trompeur, fainéant et alcoolique.
Un récit accrocheur qui me réconcilie avec Hervé Jaouen après la relative déception de "Que ma terre demeure".
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