L'histoire est trop connue pour être rappelée : les Martiens seront décimés par les bactéries issues de la putréfaction des cadavres qu'ils ont accumulés autour d'eux ? Oui, mais replacez cela à la fin du XIX siècle à Londres : vous verrez les habitants fuir en calèches, en cabs, à vélos ; les Martiens communiquer à distance au moyen d'hurlements de sirènes (comme celles des bâteaux) et en fin de livre vous découvrirez que le gouvernement, après avoir étudié un machine extra-terrestre, aurait créé en secret une machine volante...
La force de ce livre c'est aussi l'aspect psychologique du personnage principal qui voit son univers (la campagne verdoyante en banlieue de la capitale) et la civilisation disparaître en 48 heures, qui sombre presque dans la folie et qui souffre à revenir enfin au mode de vie qui était le sien, AVANT...
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