[La Terre perd la boule : Trop chaude, trop plate, trop peuplée | Thomas L. Friedman]
Après trois semaines de lecture fastidieuse, j'ai abandonné aux alentours de la page 350 (le livre en compte tout de même presque 500).
Le pire, c'est que le contenu était plutôt intéressant... mais l'écriture horriblement lourde. Là où une idée aurait pu être résumée en quelques pages, Friedman nous gratifie de longues explications, de moults examples et de répétitions à intervalles réguliers pour enfoncer le clou. A croire qu'il pense s'adresser à des gens légèrement idiots, qui seraient lents de la comprenette. De plus, il s'adresse clairement à un public américain - en insistant sur le fait que les Etats-Unis doivent devenir les leaders d'une révolution verte pour rester la nation la plus puissante du monde - ce qui ne m'aidait pas à me sentir concernée par le livre.
Je suis embêtée pour donner une note: d'un côté, je pense que ce livre part d'une bonne intention en voulant démontrer à quel point il est urgent de s'occuper d'écologie au niveau des politiques gouvernementales, en particulier aux US. D'un autre côté, je n'ai pas pu le finir. Alors je ne vais pas donner de note...
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