La Terre est plate. Le monde a chaud. L'humanité est à l'étroit. La planète perd la boule. Pourquoi ? Parce que l'Amérique a perdu la main. Le premier de la classe est devenu le pire des cancres. Il reste accro aux énergies sales et bon marché du XXe siècle. Pétrole, charbon, 4 x 4... Les Américains prennent l'Amérique et le monde pour une poubelle. L'autre lanterne rouge, c'est la Chine. Mais les Chinois, eux, ont compris le danger. En cinq ans, Pékin a remplacé ses mobylettes par des scooters électriques. D'ici à 2030, l'empire du Milieu aura construit deux cents nouvelles villes à haut rendement énergétique, avec des bâtiments à pollution zéro. C'est clair : la Chine rouge veut devenir verte. L'Europe, elle, a déjà hissé la couleur et doublé les Etats-Unis. L'entreprise solaire la plus performante du monde est américaine - mais sans la technologie des Allemands, elle aurait mis la clef sous la porte. Il n'est pas seulement question ici de vérité et d'air pur. L'enjeu est aussi celui d'une renaissance planétaire. Il est plus que temps, l'heure tourne. La Terre peut encore sortir de l'impasse. Si le monde - l'Amérique, surtout - s'y met. Tout de suite. Par l'auteur du best-seller La Terre est plate, vendu à plus de 7 millions d'exemplaires dans le monde.
Titre
La Terre perd la boule : Trop chaude, trop plate, trop peuplée